L’atrophie vulvo-vaginale est l’une des composantes du syndrome génito-urinaire de la ménopause. Il est dû à la diminution des sécrétions d’œstrogènes qui entraîne un amincissement des parois vaginales, une réduction de l’élasticité des muqueuses et une baisse de la lubrification.
Les conséquences sont des symptômes d’ordre génital : sécheresse, brûlures, irritation et des symptômes d’ordre sexuel, douleur et inconfort lors des rapports sexuels.
Environ deux tiers des femmes ménopausées estiment que l’atrophie vulvo-vaginale affecte leur sexualité.
Près de la moitié des femmes considèrent que ces symptômes font parte du vieillissement et seuls 10% des médecins abordent le sujet en consultation.
Le laboratoire Theramex a développé un traitement à base de prastérone, identique à la DHEA humaine.
La prastérone administrée dans le vagin pénètre dans les cellules et est converti en œstrogènes et androgènes. Les effets bénéfiques sur l’atrophie vulvo-vaginale sont exercés grâce à l’activation des récepteurs vaginaux œstrogéniques et androgéniques.
Les études cliniques ont montré une amélioration de la structure et l’épaisseur de la muqueuse vaginale et des symptômes tels la sécheresse et les douleurs pendant les rapports.
Intrarosa se présente sous forme d’ovule dosé à 6,6 mg de prastérone.
La posologie est de 1 ovule par jour le soir au coucher.
La boite contient 28 ovules et 6 applicateurs et est vendue en pharmacie au prix public conseillé de 29,90 €
Conférence de presse organisée par le laboratoire Theramex avec la participation des Drs Brigitte Letombe et Sylvain Mimoun
Dr CDF
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